Xi'an est une ville a voir pour l'armee enterree des soldats en terre cuite et aussi pour faire une rando exceptionnelle sur le Huashan.

C'est plein de français dans l'hôtel Flats of Renmin où je prends mon petit-déjeûner gratuit. Aujourd'hui je ne fais rien, je me remets des heures de sommeil qui me manquent après la rando nocturne du Huashan.

Je m'occupe de mon billet de train pour Urumqi. Normalement, s'il y a de la place, je pars demain soir vers 21h30.

En ville j'achète des peintures sur papier de riz que je vais envoyer en France lundi matin. Après une demi-heure de marchandage, le prix est divisé par deux. Au début j'étais seul avec le vendeur puis ça s'est rempli de chinois autour de nous qui regardaient le marchandage. Je voulais une boite pour envoyer les peintures, et le vendeur est allé, sur son vélo, en chercher une.

visite d'un atelier de peinture

Retour à l'hôtel. Mes voisines de dortoir ont aussi acheté une peinture mais l'on payée nettement plus cher que moi, environ trois fois plus. Elles parlent d'aller dire deux mots au vendeur, demain.

eclats de rire avec des francaises qui partagent mon dortoir

je viens de lui montrer tetris sur mon psion sienna

Je montre à ma voisine mon petit organiseur ; elle jète un coup d'oeil à mon journal, et lit les pages des villes où elles pensentt aller. Puis elle joue un peu au Pacman et je lui explique Tetris.

Je vais occuper ma journée à visiter Xi'an. Je me ballade dans les quartiers musulmans, autour de la grande mosquée où je n'ai pas le droit d'entrer. Il y a une rue entièrement remplie de magasins de souvenirs pour les rares touristes. Tout en marchant, j'entends le bruit de la cloche du centre de la ville, mais elle sonne n'importe quand.

les rues de xian

ca c'est le quartier des souvenirs et il est immense - le marchandage est ici ardu

la tour de la cloche

Je m'achète une version anglaise du petit livre rouge de Mao. Après marchandage, le prix tombe de 60 à 20 yuan. Après avoir parcouru toute cette rue, et en demandant les prix de souvenirs que j'ai vus ailleurs, j'en arrive à la conclusion que les prix sont souvent multipliés par cinq.

Je vais aussi visiter la tour de la cloche. Je comprends maintenant pourquoi elle sonne n'importe quand : pour 15 yuan, les touristes ont le droit de la cogner avec le bout de bois qui la fait résoner.

Je passe un moment chez China Telecom, dans leur salon Internet rempli de superbes Acer Aspire, et je regarde les pages des premières semaines de ce journal de voyage.

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